Le 24 décembre 2004,
Le mois passe en Inde fut riche en contrastes du point de vue des paysages, des ambiances, des differences culturelles et sociales entre indiens, mais aussi des diverses emotions qui m’ont traversees.
Ce sejour m’a paru a la fois long et court. Long, car a plusieurs reprises, j’ai eu hate d’en finir, ne me sentant pas a l’aise face a toutes ces differences. Court, car j’ai l’impression de ne pas avoir assez rencontre les gens, d’etre peut-etre trop reste sur les circuits touristiques et aussi par envie de decouvrir l’Inde du Sud, la vallee du Gange, l’Himalaya et surement beaucoup d’autres lieux magiques.
Pour finir ce bilan, voici, a la facon de Jeunet, ce qui m’a marque :
Je n’ai pas aime :
Les bouses de vaches tous les 50 metres.
Le regard insistant des personnes curieuses.
La promiscuite omnipresente et le manque d’intimite, dus a un pays surpeuple.
Mon infection instestinale.
Le harcellement perpetuel des commercants, chauffeurs, mendiants, curieux en tous genres.
J’ai aime :
La gentillesse et le sourire des gens.
La musique pop hindi.
Les chapatis et les lassis.
La solidarite entre indiens.
L’architecture moghole.
Le "oui" indien en dodelinant de la tete.
L’accent indien des anglophones.
La diversite des paysages.
Le bureau de reservation pour touristes a la gare de Delhi.
Les saris, les bijoux et le maquillage des femmes.
Le desert.
La negociation des prix.
Michaël
Coucou,
Ce sera avec plaisir qu’on pourra découvrir l’Inde du sud ensemble si vous venez me rendre visie... ! Bisous Isa
J’ai l’impression qu’il faut du temps pour intégrer un tel voyage. D’ailleurs, ta conclusion me renvoie à une discussion que nous avions eû à mon retour, il y a près d’un an. Il faut y aller pour savoir et apprécier, mais plus le temps avance et plus ce séjour est devenu (et de loin) ma meilleure expérience et mon meilleur voyage. J’ai hâte de reprendre notre conversation à votre retour.
En tout cas et quoique vous ayez déjà ouvert votre cadeau depuis près de 3 semaines, nous vous souhaitons un joyeux noël !
NB : Evite Patpong road le soir, si tu n’aimes ni les marchands ni la promiscuité !